IA et Pénurie de main-d’œuvre au Québec en 2025

ia et emploi

L’IA une solution à la pénurie de main-d’œuvre? 

Le Québec fait face à une pénurie de main-d’œuvre qui touche de nombreux secteurs : construction, santé, éducation, restauration, hôtellerie, industries, commerces et plus.  

Les départs à la retraite vont continuer. Le réservoir de travailleurs va continuer de diminuer. Et les politiques d’immigration n’arrangent rien à la situation.  

Les dirigeants et solopreneurs, débordés par la gestion quotidienne, cherchent des solutions pour continuer d’opérer et croître malgré la rareté des talents. 

Dans ce contexte, loin d’être une menace, l’Intelligence artificielle est une alliée.  Elle s’impose comme une solution incontournable 

Bien plus qu’un simple outil technologique, l’IA permet de repenser l’efficacité administrative, de réduire la bureaucratie et d’automatiser les tâches répétitives qui mobilisent inutilement du personnel. Les entreprises qui investissent dans l’IA et la formation de leurs équipes bâtissent non seulement leur résilience, mais aussi leur capacité à croître et à innover, même en période de pénurie et de transformation du monde du travail. 

Dans un Québec en pleine transformation, l’IA n’est plus une option. Elle est une des clés pour bâtir l’avenir du travail. 

Ce qu’on ne dit pas sur la pénurie de main-d’œuvre 

En octobre 2025, alors que le taux de chômage a augmenté, on pourrait penser que la pénurie de main d’œuvre est derrière nous. Il n’en est rien. 

La pénurie de main-d’œuvre au Québec n’est pas un problème conjoncturel : c’est un enjeu démographique et structurel.  

Depuis plusieurs années, le vieillissement de la population et les départs massifs à la retraite des baby-boomers ont réduit le bassin de travailleurs disponibles. 

En 2024, le nombre de postes vacants a atteint son plus bas niveau depuis 2018, avec 119 175 emplois à combler, mais la pression demeure forte dans certains secteurs et régions. On estime que le Québec devrait accueillir plus de 100 000 travailleurs immigrants supplémentaires chaque année pour répondre aux besoins des entreprises, particulièrement en dehors de Montréal. On se doute que ça n’arrivera pas. 

Les secteurs les plus à risque sont ceux où la dépendance à la main-d’œuvre est forte et où malheureusement les marges de manœuvre sont limitées : 

  • Dans la santé et les services sociaux, on comptait plus de 31 000 postes vacants en 2024.  
  • Dans l’éducation, la pénurie touche tous les niveaux d’enseignement et met en péril la qualité des services offerts aux élèves.  
  • La construction fait face à un défi majeur : Hydro-Québec prévoit avoir besoin de 35 000 travailleurs par année pour ses grands projets d’ici 2035, alors que le secteur peine déjà à recruter des employés qualifiés.  
  • Enfin, la restauration et l’hôtellerie, qui emploient plus de 207 000 personnes au Québec, continuent de souffrir d’un manque de personnel, comblé jusqu’à présent par de nombreux immigrants… jusqu’à ce qu’ils doivent quitter le pays! 

Cette situation a des impacts concrets sur la croissance, la rentabilité et l’épuisement des équipes. Les dirigeants doivent jongler avec des projets avortés, une surcharge de travail pour les équipes en place et une adaptation constante aux nouvelles réalités du marché. 

Face à cette situation qui semble sans issue, investir dans des solutions innovantes comme l’intelligence artificielle n’est plus une option. C’est une nécessité 

Dans ce contexte, l’intelligence artificielle peut être une réelle planche de salut. Encore plus depuis l’arrivée des agents IA.  

Utilisée conjointement avec des outils d’automatisation, elle permet d’automatiser des processus qui semblaient trop difficiles ou coûteux à automatiser. C’est l’ère de l’automisation agentique.  

L’intelligence permet aussi de réduire les coûts opérationnels, renforçant la compétitivité et sécurisant les emplois en place.  

Par exemple, dans leurs efforts en IA, beaucoup d’entreprises ont judicieusement priorisé l’automatisation autrefois confiée à des sous-traitants. Un choix intéressant puisqu’il permet d’aller chercher des bénéfices directs, sonnants et trébuchants de ces technologies, tout en contournant les préoccupations que les employés pourraient raisonnablement avoir.  

Mais alors par quoi commencer? 

Réduire les délais de formation et d’intégration des nouveaux employés 

L’IA permet aussi d’accélérer la formation des nouveaux employés et d’augmenter le taux de rétention des employés. L’accueil des nouveaux employés peut être significativement accéléré et amélioré grâce à des agents conversationnels alimentés par des bases de connaissances. Plusieurs études ont montré que l’utilisation de l’IA générative dans ces contextes peut raccourcir le temps nécessaire pour rendre un nouvel employé efficace, passant de plusieurs mois à quelques semaines. 

Améliorer l’efficacité du recrutement 

Unilever et Hilton ont adopté HireVue, une plateforme d’IA qui analyse les entretiens vidéo et le langage naturel pour évaluer les compétences comportementales des candidats. L’outil détecte des signaux verbaux et non verbaux, permettant de prédire l’adéquation au poste et le potentiel d’engagement à long terme. (source) 

Améliorer l’engagement pour réduire les départs 

L’IA peut aussi être un excellent outil pour d’analyser les comportements professionnels, de détecter le niveau d’engagement des employés et de prédire les départs ou les besoins RH avant même que les gestionnaires s’en rendent compte.  

De nombreuses organisations ont déployé des outils de sondage réguliers de leurs employés avec des outils comme OfficeVibe, Amelio ou Viva Pulse qui collectent une grande quantité de données. Utiliser l’IA pour analyser peut permettre d’obtenir une analyse fine du climat organisationnel et de dépasser la paralysie que certains gestionnaires ressentent devant toutes les données parfois difficiles à décrypter.  

Augmenter la rétention et l’engagement 

Lorsque les organisations choisissent d’investir dans l’intelligence artificielle et la formation de leurs équipes, elles constatent souvent un effet positif qui va bien au-delà de la simple optimisation des processus. En effet, cet engagement envers l’innovation technologique renforce la confiance des employés envers leur organisation. 

Les collaborateurs se sentent soutenus, voient des opportunités de développement et perçoivent que leur employeur investit dans leur avenir. Plusieurs de nos clients témoignent d’une amélioration notable de l’engagement et de la rétention du personnel : l’IA devient ainsi un levier pour bâtir une culture organisationnelle dynamique, où chacun a envie de s’investir et de progresser. Ce phénomène, parfois sous-estimé, montre que l’adoption de l’IA ne transforme pas seulement les façons de travailler, mais aussi la relation entre l’entreprise et ses talents. 

L’IA est d’abord un enjeu humain 

L’IA est un outil important pour toute organisation faisant face à des enjeux de main d’œuvre.  

Mais attention : l’IA n’est certainement pas une solution magique. Elle ne peut être une solution isolée aux enjeux de pénurie de main d’œuvre que rencontrent les organisations.  

L’IA est comme toutes les autres technologies : son efficacité repose avant tout sur la qualité de son intégration avec l’organisation humaine, les processus de travail et les compétences.  

Ceux qui ne voient qu’un projet technologique foncent droit dans le mur.  

Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter les nombreuses préoccupations qu’entraînent les premières discussions sur l’IA dans une organisation : qualité des résultats, confiance, sécurité d’emploi, évolution des rôles, sécurité et confidentialité, développement des compétences… 

Toutes ces préoccupations sont légitimes. Et elles doivent trouver des réponses pour pouvoir déployer la technologie efficacement. 

Quand nous commençons à intervenir dans une organisation, nous voyons plus d’enjeux humains que de difficultés techniques, ces dernières étant, soit dit en passant, plutôt faciles à régler. 

Et ne pas y répondre risque de simplement les amplifier et de créer de la résistance. 

L’IA permet d’optimiser les processus et d’améliorer l’efficacité administrative et de réduire la bureaucratie, Une façon très accessible de réduire la demande d’effectif. 

Mais il faut former les gens à l’utilisation responsable de l’intelligence artificielle. 

L’accompagnement stratégique de son déploiement par des experts et la qualité de vos données sont des conditions essentielles pour tirer parti de l’IA. Ceux qui vont réussir sont ceux qui vont investir dans leurs données (structurer, nettoyer, qualité, rendre disponible /stockage) 

Les conditions de succès pour adopter l’IA 

Trois conditions ressortent de notre expérience terrain et d’études récentes pour l’adoption et la rentabilisation d’un projet IA, tel que dans les ressources humaines : 

  1. Sécurité et gouvernance des données : la fondation de toute démarche IA

Avant même de penser à l’intelligence artificielle, il faut s’assurer que vos données sont fiables, bien structurées et protégées. Pourquoi ? Parce que l’IA ne peut rien faire avec des données incomplètes, mal organisées ou non sécurisées. 

  • Structurer : Organisez vos données RH (absentéisme, performance, feedbacks, etc.) dans des systèmes accessibles et cohérents. 
  • Nettoyer : Éliminez les doublons, corrigez les erreurs, standardisez les formats. 
  • Stocker et sécuriser : Utilisez des solutions cloud certifiées, chiffrez les informations sensibles, respectez les normes (ex. : Loi 25 au Québec, RGPD en Europe). 
  • Gouvernance : Définissez qui a accès à quoi, mettez en place des politiques claires et formez vos équipes à la gestion des données. 
  1. Bien choisir ses projets : viser l’impact et la rapidité

L’IA est un outil puissant, mais il faut savoir où l’appliquer pour maximiser le retour sur investissement. 

  • Commencez là où l’impact est le plus fort : Identifiez les processus RH qui consomment le plus de temps ou génèrent le plus de coûts (ex. : gestion des absences, recrutement, onboarding, analyse du climat organisationnel). 
  • Données disponibles : Privilégiez les projets où vous avez déjà des données structurées et exploitables. 
  • Tâches répétitives : L’IA excelle dans l’automatisation des tâches routinières (ex. : tri des CV, réponses aux questions fréquentes, analyse de sentiment dans les sondages internes). 
  1. Bien choisir ses partenaires : expertise, confiance et compréhension métier

La réussite d’un projet IA ne repose pas seulement sur la technologie, mais sur les humains qui la déploient et l’accompagnent. 

  • Double compétence : Choisissez des partenaires qui maîtrisent à la fois la technologie (IA, automatisation, cybersécurité) et les processus RH (gestion des talents, climat organisationnel, conformité). 
  • Relation de confiance : Privilégiez des experts qui savent vulgariser, écouter vos besoins et s’adapter à votre réalité. 
  • Miser sur l’humain : L’IA doit être au service des équipes, pas l’inverse. Impliquez vos gestionnaires et employés dans la démarche, communiquez sur les objectifs et les bénéfices, et accompagnez le changement. 

Une nouvelle pénurie : celle des talents IA ? 

L’adoption massive de l’IA crée une nouvelle pénurie : celle des talents capables de la déployer et de la superviser intelligemment. Les experts IA, les formateurs et les spécialistes en efficacité administrative sont déjà très recherchés. Les entreprises qui investissent dans la formation et la montée en compétences seront les leaders de demain. 

Voici la liste des métiers de l’IA les plus recherchés actuellement : 

  • Data Scientist 
  • Ingénieur en intelligence artificielle 
  • Architecte Big Data 
  • Analyste en IA 
  • Consultant IA 
  • Prompt Engineer 
  • Spécialiste en IA éthique 
  • Ingénieur en cybersécurité IA 
  • Chef de projet IA 
  • Responsable de la transformation numérique 
  • Formateur IA 
  • Spécialiste en efficacité administrative IA 
  • Chercheur en IA appliquée 
  • Expert en vision numérique 

Source 

Au-delà des compétences techniques, ces métiers requièrent des compétences humaines

☑️ Pensée critique et résolution de problèmes 
Capacité à analyser des situations complexes, à poser les bonnes questions et à trouver des solutions innovantes. 

☑️ Communication et vulgarisation 
Savoir expliquer des concepts techniques à des publics non spécialistes, collaborer avec des équipes multidisciplinaires et rédiger des rapports clairs. 

☑️ Esprit d’équipe et collaboration 
Travailler efficacement avec des collègues aux profils variés (technique, RH, gestion, opérationnel). 

☑️ Adaptabilité et curiosité 
Être ouvert au changement, apprendre en continu et s’adapter aux évolutions rapides du secteur de l’IA. 

☑️ Éthique et responsabilité 
Prendre en compte les enjeux de confidentialité, de biais, de transparence et d’impact social dans le développement et le déploiement de solutions IA. 

☑️ Gestion de projet et leadership 
Piloter des projets complexes, coordonner des équipes, gérer les priorités et accompagner le changement. 

☑️ Créativité et esprit d’innovation 
Imaginer de nouveaux usages, proposer des améliorations et sortir des sentiers battus. 

☑️ Empathie et intelligence émotionnelle 
Comprendre les besoins des utilisateurs, anticiper les résistances et accompagner l’adoption de l’IA dans l’organisation. 

L’intelligence artificielle est avant tout un outil au service de l’humain. Son véritable potentiel se révèle lorsqu’elle est utilisée pour soutenir, simplifier et enrichir le travail des équipes, et non pour les remplacer. 

L’IA permet d’automatiser certaines tâches répétitives ou administratives, mais elle ne peut remplacer la créativité, le jugement, l’empathie et la capacité d’innovation qui font la richesse des organisations. En misant sur le développement des compétences humaines et en plaçant l’humain au cœur de la transformation numérique, les entreprises s’assurent que l’IA devient un allié pour libérer du temps, améliorer la qualité de vie au travail et renforcer la collaboration. 

Voyez aussi notre article sur les compétences du futur

Les opportunités à saisir 

En conclusion, la pénurie de main-d’œuvre au Québec pousse les organisations à repenser leurs façons de travailler et à miser sur l’intelligence artificielle comme levier d’efficacité et de croissance. L’IA ne remplace pas l’humain, mais elle permet d’automatiser les tâches répétitives, de réduire la bureaucratie et de libérer du temps pour l’innovation et la relation client. Les entreprises qui investissent dans la structuration et la sécurisation de leurs données, ainsi que dans la formation continue avec des outils comme Copilot, accélèrent la montée en compétences de leurs équipes et améliorent la qualité du service. 

Les opportunités à saisir sont nombreuses : automatiser les processus pour gagner en agilité, anticiper les besoins RH grâce à l’analyse prédictive, et s’entourer d’experts Microsoft et de partenaires de confiance pour réussir la transformation numérique. Miser sur l’humain, la transparence et la communication autour de l’utilisation de l’IA permet de bâtir la confiance, d’engager les employés et de rassurer les clients. 

En somme, l’adoption intelligente de l’IA dans l’efficacité administrative et les ressources humaines est une réponse concrète à la pénurie de talents. Les organisations qui prennent ce virage dès maintenant seront mieux préparées pour relever les défis de demain, attirer et retenir les meilleurs talents, et se positionner comme des leaders dans leur secteur. 

Êtes-vous débordé par la gestion quotidienne et la difficulté à recruter ? Découvrez comment l’IA peut transformer votre réalité. Contactez-nous pour découvrir nos formations en IA et nos services-conseils pour l’efficacité administrative.  

Résumé 

  • La pénurie de main-d’œuvre au Québec est un enjeu démographique et structurel, touchant plusieurs secteurs clés. 
  • L’IA est un levier puissant pour l’efficacité administrative, la réduction de la bureaucratie et l’automatisation du travail. 
  • Les « quick wins » sont là où il y a sous-traitance, coûts élevés de personnel et données disponibles. 
  • Les formations en intelligence artificielle avec Copilot et l’accompagnement par des experts Microsoft sont essentiels pour réussir la transformation. 
  • Les conditions de succès : sécurité et gouvernance des données, sélection des bons projets, choix des partenaires. 
  • L’IA ne remplace pas les humains, elle libère du temps pour l’innovation et la croissance. 
  • Une nouvelle pénurie émerge : celle des talents IA. 
  • Les entreprises qui investissent dans l’IA et la formation seront les leaders de demain. 

Références 

Gouvernement du Québec. « État d’équilibre du marché du travail à court et à moyen termes : diagnostics pour 516 professions. » https://www.quebec.ca/emploi/informer-metier-profession/marche-travail/etat-equilibre 

Statistique Canada. « Tendances relatives à la pénurie de main-d’œuvre au Canada. » https://www.statcan.gc.ca/fr/sujets-debut/travail_/tendances-penurie-main-oeuvre-canada 

La Presse. « Le réservoir de travailleurs baisse au Québec. » https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2025-09-10/le-reservoir-de-travailleurs-baisse-au-quebec.php 

Radio-Canada. « La pénurie de travailleurs est là pour de bon en région, selon l’Institut du Québec. » https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2140682/emploi-region-travail-salaire 

Institut du Québec. « Répercussions de l’automatisation et de l’IA sur la main-d’œuvre au Québec. » Janvier 2025. 

McKinsey & Company. « The Future of Work: How AI Will Transform Administrative Tasks. » 2024. 

Microsoft Learn. « Microsoft 365 Certified: Administrator Expert. » 2025. 

Gouvernement du Québec. « État d’équilibre du marché du travail à court et à moyen termes : diagnostics pour 516 professions. » Gouvernement du Québec, 2024. https://www.quebec.ca/emploi/informer-metier-profession/marche-travail/etat-equilibre 

Statistique Canada. « Tendances relatives à la pénurie de main-d’œuvre au Canada. » Statistique Canada, 2024. https://www.statcan.gc.ca/fr/sujets-debut/travail_/tendances-penurie-main-oeuvre-canada 

La Presse. « Le réservoir de travailleurs baisse au Québec. » La Presse, 10 septembre 2025. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2025-09-10/le-reservoir-de-travailleurs-baisse-au-quebec.php 

Radio-Canada. « La pénurie de travailleurs est là pour de bon en région, selon l’Institut du Québec. » Radio-Canada, 2025. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2140682/emploi-region-travail-salaire 

Hydro-Québec. « Planification des besoins de main-d’œuvre pour les grands projets. » Hydro-Québec, 2024. https://www.hydroquebec.com/grands-projets/emplois.html 

Institut du Québec. « Répercussions de l’automatisation et de l’IA sur la main-d’œuvre au Québec. » Institut du Québec, janvier 2025. 

Association Restauration Québec. « Portrait de l’emploi dans la restauration et l’hôtellerie au Québec. » ARQ, 2024. https://www.arq.org/emploi-restauration-hotel 

Fédération des syndicats de l’enseignement. « Pénurie d’enseignants : état des lieux et enjeux. » FSE, 2024. https://www.fse.qc.net/penurie-enseignants 

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